Un séminaire sur les relations économiques entre le Viêt Nam et la France et les projets d’investissement de cette dernière dans le premier pays s’est récemment tenu à Montpellier, dans le sud de la France, à la fois en ligne et en personne.
Un séminaire sur les relations économiques entre le Vietnam et la France et les projets d’investissement de cette dernière dans le pays s’est récemment tenu dans la ville de Montpellier, dans le sud de la France, à la fois en ligne et en personne.
S’exprimant lors de cet événement, l’ambassadeur du Vietnam en France, Dinh Toan Thang, a déclaré qu’au cours des cinq dernières décennies, l’amitié et la coopération entre les deux pays ont connu des développements positifs, divers et substantiels dans les domaines de la politique, de l’économie, de la culture et de l’éducation.
La France est actuellement le deuxième investisseur du Vietnam dans l’Union européenne (UE), avec un capital social total de plus de 3,6 milliards USD, principalement dans la production et l’immobilier.
Cependant, elle possède des avantages dans les domaines des télécommunications, des énergies renouvelables, de l’environnement, de la biomédecine, de la fabrication, des infrastructures et de la logistique, qui sont tous conformes aux orientations du Vietnam en matière d’attraction des investissements étrangers, a déclaré M. Thang.
Il s’est dit convaincu qu’avec le potentiel et les atouts du Vietnam ainsi que la détermination de son gouvernement, la collaboration du pays avec la France en général et Montpellier en particulier connaîtra des percées.
Le diplomate s’est engagé à servir de pont entre les deux pays et leurs partenaires afin de stimuler la coopération pour un développement durable.
Diane Belle, vice-présidente de la Jeune Chambre économique de Montpellier, a déclaré que les entreprises françaises s’intéressent au marché vietnamien car elles y voient de nombreuses opportunités de développement mutuel.
Elle a proposé aux deux parties de trouver des moyens de surmonter les obstacles tels que les différences culturelles et sociales pour une meilleure compréhension, et de ne pas se concentrer uniquement sur l’investissement dans la production, mais de prêter également attention au développement d’autres secteurs tels que les services ou les industries de soutien.
